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C’est le feu qui saisit les entrailles de l’âme Pour y insuffler la foi C’est la brise légère sur mon visage Pour me parler de Toi C’est le souvenir d’aubes blanches Professant leur foi C’est la lumière de l’espérance En plus grand que soi C’est la lecture familière Des Apôtres parlant en langues C’est le cénacle de la surprise Pour des disciples en capacité de Toi C’est la flamme jamais rassasiée de cire Qui brûle le cœur épris de Toi C’est le printemps entêtant de senteurs Qui se mêlent aux couleurs de la joie C’est la fleur sur la vigne Et sur l’acacia C’est la pivoine épanouie Au soleil de Ton aura C’est l’avènement de l’Esprit Sur l’Eglise déjà là Et sur le front embaumant le saint Chrême De l’enfant humble choisi par Toi Véronique Belen.
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